Poster a écrit : Et ceci à la prise de vue
Une photo étrange qui interroge d’autant plus qu’elle ne résulte d’aucune manipulation en PT.
J’y vois des spectres, des fantômes du passé.
Il me semble souvent difficile de distinguer entre une construction et une photo due à la prise de vue.
En l’occurrence, l’intérêt de la présente photo me semble tenir au fait qu’elle témoigne de ce que l’appareil-photo a capté à ce moment-là.
Un appareil-photo me semble parfois être une « boîte à fantômes ».
Et le fait est qu’une photo, c’est toujours une image de ce qui n’existe plus.
Fugit irreparabile tempus : le temps irréparable fuit.
Chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde, le monde que nous voyons se transforme : « On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve. »
Bravo Annie.
François
