portrait
Modérateur : Modérateurs
- Scaër
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- Claudius
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Tout en délicatesse !
Toutes mes photos sont parties à la poubelle; c'est une avancée décisive.
- Bib
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Réussi, une fois de plus !
Chaque fibre, chaque courbe, ont leur place !
Toujours étonné par l'ambiance que donne cette teinte verte !
Chaque fibre, chaque courbe, ont leur place !
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Photographier, c'est prendre le temps de regarder et voir autrement.
- miguelcervantes
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J’aime
Je note que de plus en plus la couleur s’installe dans ton univers, Yves, et cela avec bonheur, bien que tes photos soient à mes yeux toujours austères, minimalistes, voire monastiques.
Je note aussi que tu ne fais jamais de natures mortes au sens classique d’un agencement de fruits, de fleurs ou d’autres objets. Tes « natures mortes » me semblent toujours être des « portraits » de sujets organiques qui se présentent dans leur individualité et leur intimité, comme s’il s’agissait de « personnes », d’êtres humains.
Alors que les natures mortes classiques parlent souvent d’abondance et de la Nature comme une ressource à exploiter pour le plaisir des sens, les tiennes (si c’en est ) me parlent d’êtres avec lesquels nous sommes dans une relation de cohabitation sur notre fragile et peut-être unique petite planète bleue. Elles me semblent ainsi toujours inviter à un rapprochement et à une réflexion.
Yves Debruyne est à mes yeux un photographe qui a un « univers ». D’une image à l’autre, il témoigne de cet univers, de sa « vision », de son regard, au-delà du souci de documenter quoi que ce soit, sinon le temps qui passe, le cycle de la vie et de la mort, l’instant vu dans la perspective de la longue durée, témoignant de ce qui d’une génération à l’autre, depuis de millénaires, se construit et se reconstruit, se reproduit, avec insistance, inlassablement.
Tes photos, Yves, ouvrent des fenêtres dans ma maison et m’invitent à une méditation, un peu à la manière de mantras. Ce sont des tableaux, des œuvres d’art, des images que j’afficherais sur les murs de mon salon en tant qu’objets non pas d’information mais de contemplation.
S’il y avait un critère pour distinguer entre une photo documentaire et une photo artistique, je dirais que ce serait le fait qu’une photo artistique se présente comme un objet de contemplation et de méditation. Telles sont à mes yeux tes photos, Yves.
Cela dit, en tant qu’amateur de photographie, j’apprécie toutes les images qui d’une manière ou d’une autre me séduisent et/ou élargissent mes horizons.
Ma longue fréquentation de RP, depuis plus d’une décennie, a élargi mes horizons aussi bien dans le domaine de la photo documentaire que dans celui de la photo artistique.
Comme je l’ai souvent dit, en photographie comme en art, j’apprécie la diversité des approches et des regards. Tes photos, ton regard, contribuent à cette diversité
Libre bien sûr à chacune et chacun d’apprécier ou non tel ou tel type de photo.
En ce qui concerne les œuvres d’art, je garde en mémoire ce mot de l’historien de l’art Gombrich, que je paraphrase ici : « Il n’y a pas de mauvaises raisons d’aimer une œuvre d’art ».
Merci à RP et merci à toi Yves
J’aime te voir et revoir ici.
François
Je note que de plus en plus la couleur s’installe dans ton univers, Yves, et cela avec bonheur, bien que tes photos soient à mes yeux toujours austères, minimalistes, voire monastiques.
Je note aussi que tu ne fais jamais de natures mortes au sens classique d’un agencement de fruits, de fleurs ou d’autres objets. Tes « natures mortes » me semblent toujours être des « portraits » de sujets organiques qui se présentent dans leur individualité et leur intimité, comme s’il s’agissait de « personnes », d’êtres humains.
Alors que les natures mortes classiques parlent souvent d’abondance et de la Nature comme une ressource à exploiter pour le plaisir des sens, les tiennes (si c’en est ) me parlent d’êtres avec lesquels nous sommes dans une relation de cohabitation sur notre fragile et peut-être unique petite planète bleue. Elles me semblent ainsi toujours inviter à un rapprochement et à une réflexion.
Yves Debruyne est à mes yeux un photographe qui a un « univers ». D’une image à l’autre, il témoigne de cet univers, de sa « vision », de son regard, au-delà du souci de documenter quoi que ce soit, sinon le temps qui passe, le cycle de la vie et de la mort, l’instant vu dans la perspective de la longue durée, témoignant de ce qui d’une génération à l’autre, depuis de millénaires, se construit et se reconstruit, se reproduit, avec insistance, inlassablement.
Tes photos, Yves, ouvrent des fenêtres dans ma maison et m’invitent à une méditation, un peu à la manière de mantras. Ce sont des tableaux, des œuvres d’art, des images que j’afficherais sur les murs de mon salon en tant qu’objets non pas d’information mais de contemplation.
S’il y avait un critère pour distinguer entre une photo documentaire et une photo artistique, je dirais que ce serait le fait qu’une photo artistique se présente comme un objet de contemplation et de méditation. Telles sont à mes yeux tes photos, Yves.
Cela dit, en tant qu’amateur de photographie, j’apprécie toutes les images qui d’une manière ou d’une autre me séduisent et/ou élargissent mes horizons.
Ma longue fréquentation de RP, depuis plus d’une décennie, a élargi mes horizons aussi bien dans le domaine de la photo documentaire que dans celui de la photo artistique.
Comme je l’ai souvent dit, en photographie comme en art, j’apprécie la diversité des approches et des regards. Tes photos, ton regard, contribuent à cette diversité
Libre bien sûr à chacune et chacun d’apprécier ou non tel ou tel type de photo.
En ce qui concerne les œuvres d’art, je garde en mémoire ce mot de l’historien de l’art Gombrich, que je paraphrase ici : « Il n’y a pas de mauvaises raisons d’aimer une œuvre d’art ».
Merci à RP et merci à toi Yves
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François
- Guylepicard
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Je suis depuis toujours impressionné par ton travail ... c'est superbe encore une fois.
Pas besoin d'un flash pour photographier un lapin qui a déjà les yeux rouges (JCVD)
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