Il était une fois ...

[revlan]

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[miguelcervantes]

J’adhère

Je ne t’ai pas reconnu ici à première vue, Thierry. Comme l’ami Scaër, tu te renouvelles et explore de nouvelles pistes.

Là où je te reconnais, c’est dans ta manière très personnelle de jouer avec l’ombre et la lumière dans un constant souci de cohérence et de picturalité. Tes passages entre l’ombre et la lumière sont rembranesques.

Le thème de la fenêtre me paraît récurrent dans ta production. Dans ton univers, une fenêtre, c’est une ouverture sur l’idéal et l’évasion, le rêve, l’air et la liberté. Ici, elle est close. Elle me semble émerger d’une nuée sombre.

Ton titre « Il était une fois » évoque pour moi aussi bien un passé révolu qu’un conte de fées.

Le rêve a toujours une fin, mais comme le phénix il renaît sans cesse de ses cendres, car il est l’étoffe dont nous sommes faits. Cesser de rêver, d’espérer, de créer, c’est cesser de vivre. La mort alors nous guette : « l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. »

Dans toute leur « sombritude », tes photos, Thierry, de l’une à l’autre, témoignent à mes yeux de la joie inhérente à la création artistique, de ta lutte contre la mort. Délirantes pour certains, elles me parlent de beauté, de rêve et de lucidité, tout comme les œuvres de Rembrandt et les poèmes de Baudelaire.

François

[ChantalMan]

J’adhère

Je ne t’ai pas reconnu ici à première vue, Thierry. Comme l’ami Scaër, tu te renouvelles et explore de nouvelles pistes.

Là où je te reconnais, c’est dans ta manière très personnelle de jouer avec l’ombre et la lumière dans un constant souci de cohérence et de picturalité. Tes passages entre l’ombre et la lumière sont rembranesques.

Le thème de la fenêtre me paraît récurrent dans ta production. Dans ton univers, une fenêtre, c’est une ouverture sur l’idéal et l’évasion, le rêve, l’air et la liberté. Ici, elle est close. Elle me semble émerger d’une nuée sombre.

Ton titre « Il était une fois » évoque pour moi aussi bien un passé révolu qu’un conte de fées.

Le rêve a toujours une fin, mais comme le phénix il renaît sans cesse de ses cendres, car il est l’étoffe dont nous sommes faits. Cesser de rêver, d’espérer, de créer, c’est cesser de vivre. La mort alors nous guette : « l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique, sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. »

Dans toute leur « sombritude », tes photos, Thierry, de l’une à l’autre, témoignent à mes yeux de la joie inhérente à la création artistique, de ta lutte contre la mort. Délirantes pour certains, elles me parlent de beauté, de rêve et de lucidité, tout comme les œuvres de Rembrandt et les poèmes de Baudelaire.

François

J'aime beaucoup tes commentaires si intéressant François !! Bonne journée

[Dmargeur]

Ce qui m'interpelle le plus revlan, c'est la composition de ton image : le carré noir à droite en "opposition" à la partie de la fenêtre non occultée...

[Cold-Hand]

Ça me parle et la corrélation avec le titre en rajoute une couche...

[revlan]

Merci à ceux qui ont laissé leurs mots ici ..