Sous les ponts de Paris...

[papyphoto]

Le Minimalisme “ne vivre qu'avec ce dont on a besoin”

[Aude]

La photo est bien faite, mais sans le titre on n'en comprends pas l’intérêt, elle serait mieux dans une série du coup

[Bib]

La photo est bien faite, mais sans le titre on n'en comprends pas l’intérêt, elle serait mieux dans une série du coup

Pas fou!
Pour que la photo se tienne toute seule, il faudrait voir la table en entier, dans son milieu dénudé, pour la mettre en valeur.
ici, on se demande si le sujet n'est pas plutôt les objets dessus.

[MLZ]

"Sous les ponts" évoque plutôt un état de vagabondage ,ta photo est trop "clean" pour illustrer cet état, les produits ou objets qui figurent sur ta photo ne sont pas en accord avec ton titre, je reste dubitatif

[papyphoto]

La photo est bien faite, mais sans le titre on n'en comprends pas l’intérêt, elle serait mieux dans une série du coup

Pas fou!
Pour que la photo se tienne toute seule, il faudrait voir la table en entier, dans son milieu dénudé, pour la mettre en valeur.
ici, on se demande si le sujet n'est pas plutôt les objets dessus.

Pour répondre aux critiques.
Le sujet n'est pas la table, mais bien entendu, ce qui est posé dessus.
Cette photo a été prise lors d'un stage de photographie dans la rue, le thème était tout simplement, « Le minimalisme ». Un sujet pas facile.
Nous sommes sous un pont sur la Seine à Paris où vivent des "sans-abris", elle montre simplement les seules possessions d'une de ces personnes (qui n'était pas sur place au moment de la prise de vue) et qui couchée à côté de la petite table.

[miguelcervantes]

Une intéressante photo qui pose une question et ouvre une fenêtre, Papyphoto

Je côtoie le monde de l’itinérance depuis des années ici dans mon coin, la région de la Capitale du Canada, Ottawa.

Ce qui m’étonne dans ta photo, c’est qu’on y voit une table et des boîtes de conserve.

Nos itinérants ici dans ma région n’ont ni table ni d’ouvre-boîtes pour ouvrir des conserves.

Il se peut que sous les ponts de Paris, ce soit autrement.

Le monde de l’itinérance et des SDF est un monde complexe et varié.

J’ai lu récemment dans un journal du Québec qu’un de nos humoristes les plus connus avait un jour été contraint de partager, pendant un mois, la vie des itinérants.

Qui sont les itinérants?

Au final, ça peut être toi ou moi, selon les circonstances.

Je n’ai pour ma part jamais vu ici dans ma région aucun itinérant dresser une table ou ouvrir une boîte de conserve. Mais il se peut qu’il en soit autrement sous les ponts de Paris.

Le fait me semble être que les conditions économiques actuelles contraignent bien des gens à l’itinérance, des gens comme toi et moi, y compris des gens qui ont été expulsés de leur logis par des propriétaires avides de gain.

Le minimalisme, poussé à l’extrême, et pas nécessairement choisi, c’est entre autres de ne plus avoir de table pour manger et plus d’ouvre-boîte pour ouvrir les conserves. Tels sont la majorité des itinérants que je croise dans la rue ici dans ma région. Je leur offre de l’argent et parfois des frites, des chips et des hamburgers, ce dont ils sont généralement satisfaits.

François