je n'ai pas dit que l'image était une traduction littérale de la chanson de bashung et l'idée abordée n'est pas non plus la légéreté de la plume...
je m'inspire de ce que j'aime de cette chanson (ici, le titre) mais j'en fais ma propre histoire et pour faire un résumé : lorsque "je" laisse tomber mon costume d'ange (ou de volatile si vous êtes fan de poulet

) "je" laisse entrevoir qui je suis réellement...
"je" donne l'illusion de ce que "je" voudrai que l'on voit de "moi". Oui, crasseux... mais c'est ce que "je" suis et que les autres n'acceptent pas...
Et "je" ne peux être moi même que lorsque "je" suis seul... la nuit probablement !
je partage tout à fait les avis de Gohier et d'Armoric : "le lecteur a une sensibilité qui doit un peu "travailler" ; "c'est au "lecteur" de faire fonctionner son imaginaire..." pour se raconter son histoire
merci pour vos passages
