ReflexPhoto

Le linge pendu aux fenêtres m’évoque d’autres contrées, plus ensoleillées, quelque part autour de la méditerranée, une vie plus calme, apaisée, où les minutes savent s’écouler patiemment quand le soleil brûle les rochers à l’ombre desquels quelques chèvres sont venues chercher le frais et un peu de repos malgré le ballet des mouches qui viennent les taquiner et qu’elles tentent de dissuader gauchement par des battements d’oreilles désordonnés, un immense silence bruyant de sauterelles, de cigales et de criquets et plus loin le crissement étouffé du sable au va-et-vient des faibles vagues qui n’en finissent pas de s’échouer pour renaître sans fin.

çà me parlepas désolé

aucun intérêt pour ma part

Vous êtes bien durs, je trouve qu'avec les mots qui l'accompagnent ca marche très bien

Ah, mon cher Patrick,

Content de te revoir après une si longue absence. Je viens tout juste de remarquer ton retour amorcé en mai cette année après deux ans d'absence

Ce qui est particulier dans ta production, c'est la complémentarité du texte et de l'image. Qui a dit qu'une image devait nécessairement se suffire à elle-même?

En art, tout est permis et les audaces sont bienvenues!

Ton approche de la photo est, je dirais, autoréférentielle. Tu nous dis chaque fois: j'étais là moi, et seulement moi, et je vais tenter de vous faire entendre mon coeur avec les mots et l'image.

Bravo, mon ami!

François

Merci François,

Je te réponds en publiant une autre image, dont le texte a été écrit avant de te lire :

"La vie n'est pas parfaite - jeudi 19 juin 2014"