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Life on Mars ...
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Des spectres et des ombres, un monde dématérialisé, le monde de l’âme et des songes.
Tel est l’univers poétique.
Tu es ici unique, Thierry, notamment héritier de Baudelaire.
En tant qu’appréciateur de la diversité des approches en arts visuels, y compris en photographie, j’admire ton approche poétique, impressionniste et expressionniste.
François
Tel est l’univers poétique.
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François
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C’est toujours une aventure de regarder tes photos!
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Photographier, c'est prendre le temps de regarder et voir autrement.
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Du Dead can dance, this mortal coil , je vois çà , de la cold wave des années 80 ...je vois çà et j'aime bien cette tristesse revendiquée
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Lulu a écrit : Du Dead can dance, this mortal coil , je vois çà , de la cold wave des années 80 ...je vois çà et j'aime bien cette tristesse revendiquée
+1
J’adhère.
« Tristesse » est un mot courant pour dire le « spleen », omniprésent dans la production photographique de Revlan tout comme dans la poésie de Baudelaire.
Mais un tel « spleen », une telle tristesse, me semble toujours associé autant chez Baudelaire que chez Revlan à l’expression d’un « idéal ». D’où notamment la série de photos intitulée par Revlan « Spleen et Idéal ».
Quant à Baudelaire, voici de qu’il a dit de l’Idéal dans ses « Fleurs du mal » :
« Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées,
Des montagnes, des bois, des nuages, des mers,
Par delà le soleil, par delà les éthers,
Par delà les confins des sphères étoilées,
Mon esprit, tu te meus avec agilité,
Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde,
Tu sillonnes gaiement l’immensité profonde
Avec une indicible et mâle volupté.
Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ;
Va te purifier dans l’air supérieur,
Et bois, comme une pure et divine liqueur,
Le feu clair qui remplit les espaces limpides.
Derrière les ennuis et les vastes chagrins
Qui chargent de leur poids l’existence brumeuse,
Heureux celui qui peut d’une aile vigoureuse
S’élancer vers les champs lumineux et sereins ;
Celui dont les pensers, comme des alouettes,
Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
– Qui plane sur la vie, et comprend sans effort
Le langage des fleurs et des choses muettes ! »
Charles Baudelaire, Élévation, in Les Fleurs du Mal
Et tel est l’artiste, tel cet albatros évoqué par Baudelaire dans un autre poème :
« Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d’eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !
L’un agace son bec avec un brûle-gueule,
L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait !
Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l’archer ;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l’empêchent de marcher. »
Charles Baudelaire, L'Albatros, in Les Fleurs du Mal
Il y a quelques années, en réponse à une photo de Revlan intitulée « Spleen et Idéal », un commentateur a écrit et je paraphrase de mémoire : « Je vois bien le spleen ici, mais où est l’idéal? » Revlan, poète qu’il est, a répondu laconiquement : « Regarde par la fenêtre. » Ce mot lapidaire m’a toujours semblé être une clé pour l’interprétation de ses photos.
L’Art me semble être pour lui une fenêtre, une issue, une ouverture. Il la garde toujours ouverte dans sa maison en tant que photographe humaniste.
Voilà bien des mots, sans doute inutiles.
Je suis d’avis que les photos de Revlan ont en elles-mêmes une voix. À chacune et chacun d’y prêter l’oreille.
François
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En plein dans le motel de "Psychose" au moment ou Norman Bates (l'ombre) s'apprête à tirer le rideau de douche, devant sa mère momifiée...(au premier plan).
Le spectre qui entoure la scène de ses bras est l'esprit de la mère de Norman qui le domine complètement avant le meurtre....
Je ne cherche pas à décrire ta photo Revlan, je suis sans doute très loin de ce qui t'a amené à la créer.
Mais la scène de la douche m'a sans doute marqué plus que ce que je crois et elle m'est venue presque de suite à l'esprit.
(surtout le spectre qui semble guider l'ombre)...
Le spectre qui entoure la scène de ses bras est l'esprit de la mère de Norman qui le domine complètement avant le meurtre....
Je ne cherche pas à décrire ta photo Revlan, je suis sans doute très loin de ce qui t'a amené à la créer.
Mais la scène de la douche m'a sans doute marqué plus que ce que je crois et elle m'est venue presque de suite à l'esprit.
(surtout le spectre qui semble guider l'ombre)...
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Dmargeur a écrit : En plein dans le motel de "Psychose" au moment ou Norman Bates (l'ombre) s'apprête à tirer le rideau de douche, devant sa mère momifiée...(au premier plan).
Le spectre qui entoure la scène de ses bras est l'esprit de la mère de Norman qui le domine complètement avant le meurtre....
Je ne cherche pas à décrire ta photo Revlan, je suis sans doute très loin de ce qui t'a amené à la créer.
Mais la scène de la douche m'a sans doute marqué plus que ce que je crois et elle m'est venue presque de suite à l'esprit.
(surtout le spectre qui semble guider l'ombre)...
J'aime ton interprétation, André
La magie des photos de Revlan, c'est notamment qu'elles se prêtent à bien des interprétations.
De mémoire, je dirais qu'il a déjà intitulé une de ses photos "Psychose" en référence au film de Hitschcock.
S'il ne l'a jamais fait, alors je pense qu'il le fera un jour.
D'une image à l'autre, les photos de Revlan me parlent de ce que Freud a appelé "l'inquiétante étrangeté".
François
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je reste bouche bée et admiratif d'une tel cohérence dans tes photos
merci pour le partage
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miguelcervantes a écrit :D'une image à l'autre, les photos de Revlan me parlent de ce que Freud a appelé "l'inquiétante étrangeté".
François
Oui François : Freud aimerait passer du temps devant tes photos Revlan !
Gadenne a écrit : cohérence dans tes photos
Je suis d'accord avec toi Gadenne : il y a une cohérence, un peu comme un fil d'Arianne, ou bien les cailloux du Petit Poucet..: la pénombre d'un lieu enterré, une ombre, un spectre et surtout des femmes "mannequins" tantôt nues : objets, ou habillées strictement : dominantes...
David Bowie, Baudelaire sont des paravents qui cachent la porte ouvrant vers les profondeurs sombres de l'horreur...
Norman Bates vous y attend...
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Que de textes ne peut-on citer face à ces images qui nous titillent l'imaginaire. Ne rien ajouter de superflu aux précédents commentaires ; seulement regarder.
Toutes mes photos sont parties à la poubelle; c'est une avancée décisive.
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miguelcervantes a écrit :Des spectres et des ombres, un monde dématérialisé, le monde de l’âme et des songes.
Tel est l’univers poétique.
Tu es ici unique, Thierry, notamment héritier de Baudelaire.
En tant qu’appréciateur de la diversité des approches en arts visuels, y compris en photographie, j’admire ton approche poétique, impressionniste et expressionniste.
François
J'ai "planché" un peu sur Baudelaire et son rapport avec les femmes car il y en a presque sur toute les photos de ta série...
J'ai lu son poème "Le Vampire" (que tu connais François) et son analyse littéraire sur le web...Il m'a ouvert un peu les yeux...Je commence à l'apercevoir dans ton univers Revlan !
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Dmargeur a écrit : J'ai "planché" un peu sur Baudelaire et son rapport avec les femmes car il y en a presque sur toute les photos de ta série...
J'ai lu son poème "Le Vampire" (que tu connais François) et son analyse littéraire sur le web...Il m'a ouvert un peu les yeux...Je commence à l'apercevoir dans ton univers Revlan !
Je pense, André, que la poésie de Baudelaire est omniprésente dans l’œuvre de Revlan.
Mais Revlan est Revlan et Baudelaire est Baudelaire.
Il serait intéressant d’analyser l’image des femmes chez Baudelaire. Cela a sans doute déjà été fait. Elle me semble s’y présenter à la fois comme muse, objet de désir et tentatrice. Dans ses Fleurs du mal, Baudelaire me semble vouloir se libérer des liens de la chair pour s’envoler comme un oiseau dans le ciel :
Élévation
Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées,
Des montagnes, des bois, des nuages, des mers,
Par delà le soleil, par delà les éthers,
Par delà les confins des sphères étoilées,
Mon esprit, tu te meus avec agilité,
Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde,
Tu sillonnes gaiement l’immensité profonde
Avec une indicible et mâle volupté.
Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ;
Va te purifier dans l’air supérieur,
Et bois, comme une pure et divine liqueur,
Le feu clair qui remplit les espaces limpides.
Derrière les ennuis et les vastes chagrins
Qui chargent de leur poids l’existence brumeuse,
Heureux celui qui peut d’une aile vigoureuse
S’élancer vers les champs lumineux et sereins ;
Celui dont les pensers, comme des alouettes,
Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
– Qui plane sur la vie, et comprend sans effort
Le langage des fleurs et des choses muettes !
Charles Baudelaire, Les fleurs du mal
Quant à Revlan, contrairement à Baudelaire, ses œuvres me semblent rarement sinon jamais évoquer la sensualité charnelle, versus par exemple « Lola de Valence » :
« Entre tant de beautés que partout on peut voir,
Je contemple bien, amis, que le désir balance;
Mais on voit scintiller en Lola de Valence
Le charme inattendu d'un bijou rose et noir. »
— Charles Baudelaire, Lola de Valence, in Les Fleurs du Mal
C’est dans une exploration de l’âme humaine que Revlan me semble rejoindre Baudelaire, au niveau notamment du Spleen et de l’Idéal.
Les femmes de Revlan me semblent toujours comme Eurydice, l’épouse bien-aimée que le musicien Orphée a en vain tenté de ramener de l’Hadès : des spectres dépourvus de chair à l’instar d’à peu près toutes les évocations d’êtres humains dans son iconographie : des spectres, des ombres, des statues, des simulacres. Et c’est en cela, notamment, que Revlan me semble se distinguer de Baudelaire, bien qu’il s’en rapproche dans son exploration de l’âme humaine.
Tout comme toi, André, je ne fais ici qu’exprimer mon ressenti, avec mes mots, face à l’intrigante et unique production photographique de Revlan que je considère comme un artiste à l’écoute de sa « nécessité intérieure ». Il y a ici une cohérence dans l’expression plastique que j’ai rarement vue ailleurs ici sur RP.
Je n’hésiterais pas à parler du « monde de Revlan », un monde d’échos, de résonnances et de correspondances qui s’ouvre comme une fenêtre dans ma maison.
Merci André et bravo Thierry!
François
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miguelcervantes a écrit :
Tout comme toi, André, je ne fais ici qu’exprimer mon ressenti, avec mes mots, face à l’intrigante et unique production photographique de Revlan que je considère comme un artiste à l’écoute de sa « nécessité intérieure ». Il y a ici une cohérence dans l’expression plastique que j’ai rarement vue ailleurs ici sur RP.
François
François pour ton échange !
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Pour répondre à vos interrogations sur Baudelaire, la femme est à la fois une source de beauté transcendante et une figure ambiguë qui évoque la décadence et la mort. Son rapport aux femmes, nourri par ses propres expériences et par les tensions morales de son époque, se reflète dans son écriture, créant une représentation de la féminité profondément marquée par le contraste entre idéalisation et crainte.
On est toujours dans le spleen et l’Ideal …
Merci à vous pour vos retours …
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revlan a écrit : Pour répondre à vos interrogations sur Baudelaire, la femme est à la fois une source de beauté transcendante et une figure ambiguë qui évoque la décadence et la mort. Son rapport aux femmes, nourri par ses propres expériences et par les tensions morales de son époque, se reflète dans son écriture, créant une représentation de la féminité profondément marquée par le contraste entre idéalisation et crainte.
On est toujours dans le spleen et l’Ideal …
Merci à vous pour vos retours …
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revlan a écrit : Pour répondre à vos interrogations sur Baudelaire, la femme est à la fois une source de beauté transcendante et une figure ambiguë qui évoque la décadence et la mort. Son rapport aux femmes, nourri par ses propres expériences et par les tensions morales de son époque, se reflète dans son écriture, créant une représentation de la féminité profondément marquée par le contraste entre idéalisation et crainte.
On est toujours dans le spleen et l’Ideal …
Merci à vous pour vos retours …
C’est avec plaisir que je lis ici les mots de Revlan, lui qui s’exprime ici toujours en images, avec une grande économie de mots.
Mais les mots, rares, qu’il dit ici, vont dans le sens de mon ressenti, comme souvent sinon toujours.
Les photos de Revlan me semblent s’ouvrir sur de multiples interprétations, comme bien de célèbres œuvres d’art. Il n’est pas exclu qu’elles puissent même échapper à son regard.
Pour ma part, la femme de Revlan, c’est toujours Eurydice ou Antigone, prisonnières des ténèbres.
Les photos de Revlan me parlent toujours de l’univers tragique sans doute initié par Sophocle voilà quelque 2500 ans dans le sillage des épopées d’Homère et le prolongement en écho des mythes les plus anciens qui habitent notre imaginaire.
À chacune ou chacun son regard.
Selon le dramaturge russe Anton Tchekhov, ce qui fait l’intérêt d’une œuvre d’art, ce n’est pas la réponse qu’elle apporte mais la question qu’elle pose. J’adhère.
François
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Les photos que tu présentes ne correspondent pas à celles que je sais faire mais après avoir passé du temps à parcourir ton parcours photographique et sur les conseils de mon ami Miguelcervantès, ma conclusion sera plus "sèche" que celle qu'il aurait formulée : lecture de l'image qui demande réflexion, interprétation personnelle et le résultat est une réussite totale dans ton style
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Guylepicard a écrit : Les photos que tu présentes ne correspondent pas à celles que je sais faire mais après avoir passé du temps à parcourir ton parcours photographique et sur les conseils de mon ami Miguelcervantès, ma conclusion sera plus "sèche" que celle qu'il aurait formulée : lecture de l'image qui demande réflexion, interprétation personnelle et le résultat est une réussite totale dans ton style
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J’adhère à ce commentaire.
François
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Guylepicard a écrit : Les photos que tu présentes ne correspondent pas à celles que je sais faire mais après avoir passé du temps à parcourir ton parcours photographique et sur les conseils de mon ami Miguelcervantès, ma conclusion sera plus "sèche" que celle qu'il aurait formulée : lecture de l'image qui demande réflexion, interprétation personnelle et le résultat est une réussite totale dans ton style
Oups < PARCOURIR TON PARCOURS> je suis devant une telle poésie
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Merci d accompagner mon insomnie
Donner des leçons est une aberration économique !
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Un peu flippant pour moi ! mais j'apprécie la technique
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