Ils ne sont plus que quelques hommes (et une femmes) presque tous âgés, ils ont remplacé les bœufs par des tracteurs, seuls 3 ou 4 bateaux résistent aux sirènes du tourismes et perpétuent le métier qui fut jadis la raison d'être de leur cité. Une cité devenue, comme d'autre au Portugal, un spot de surf. Les pêcheurs d'Espinho m'ont ému et j'ai adoré partager leur petit matin . Tous, patron et ouvrier vont en mer et reviennent au petit matin, tous ils tirent, soulèvent, rangent réparent, nettoient, trient et espèrent des jours meilleurs .
Ces moment de photo sont ceux que je préfère. Choisir dix photo est un crève cœur mais j'espère que vous sentirez ici ce que j'ai ressenti .

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